lundi 20 février 2017

Des émules de Fred Astair à Oésia


Juin 2012. Oésia

L’école de danse de claquettes, Dancing feet, a donné un fort joli spectacle pour sa fête de fin d’année, samedi. A la terrasse d’un café, le garçon passe de table en table prendre les commandes. Une pièce est glissée dans le juke-box et un groupe de danseurs interprète un charleston puis un rock qui finit sur un semblant de pugilat. Les élèves formant plusieurs groupes évoluaient sur des airs très swing de reggae, de soul et dans des atmosphères différentes car «on peut faire des claquettes sur toutes sortes de musiques», comme le remarquait la trésorière, Noémie Pasquet.Certaines chorégraphies permettaient au public de retrouver l’atmosphère des comédies musicales américaines des années 50. Mais quel secret les danseurs ont-ils donc pour accompagner leurs mouvements de bruits si particuliers ?Ils ont des chaussures munies de fers spéciaux à la pointe et au talon. «Il faut aussi une bonne coordination et aimer le rythme», précisait Laurence Bernier, professeur de claquettes. «Il faut surtout aimer la musique et la danse», ajoutait son collègue, Valentin Karl.En seconde partie, la compagnie Tapergosum, formée de quatre professionnels spécialistes de claquettes américaines, a interprété avec brio des chorégraphies mettant en valeur les fameuses claquettes.«Par les qualités de son sol et de son acoustique, Oésia est une salle idéale pour pratiquer nos danses», se réjouissait la présidente, Céline Michaux. Association Dancing feet, 88, rue de la Mésangerie, à Saint-Cyr-sur-Loire. Tél. 02.47.51.47.22 ou 06.58.64.71.65. www.dancingfeetclaquettes.comAccédez à l’intégralité de cet article sur www.lanouvellerepublique.fr

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